mercredi 26 février 2025
nieuws

NieuwbouwInSpanje en Espagne dans le guide immobilier de De Tijd

L'article « Zo invest u zonder zorgen in vastgoed om zelf te genieten » de De Tijd aborde en détail les éléments à prendre en compte lors de l'achat d'une résidence secondaire, que ce soit en Belgique ou à l'étranger. L'article souligne que de nombreux acheteurs considèrent leur résidence secondaire comme une source de détente et de moments précieux, mais qu'il ne faut pas oublier la réalité financière.

Processus d'acquisition immobilière

Cet article fournit des informations intéressantes sur les différents aspects du processus d'acquisition à l'étranger. Les points importants à considérer sont les suivants :

  • Impôts et autres coûts : Il est essentiel de connaître les impôts applicables à l'achat, aux revenus locatifs éventuels et aux droits de succession. Cela s'applique tant aux investissements nationaux qu'internationaux.
  • Optimisation des droits de succession : Si un bien immobilier est entièrement à votre nom, il peut être inclus dans votre succession, entraînant des droits de succession élevés pour vos héritiers.
  • Achat démembré : Cette structure offre une solution : les parents achètent uniquement l'usufruit, tandis que les enfants acquièrent la nue-propriété. Ainsi, l'usufruit s'éteint automatiquement au décès, ce qui réduit considérablement les droits de succession.
  • Planification successorale pour un bien immobilier à l'étranger : Lors de l'achat d'une résidence secondaire à l'étranger, il faut également tenir compte des réglementations locales – la plupart des pays prélèvent des droits de succession sur les biens immobiliers, quelle que soit la nationalité du propriétaire.

Ces informations concernent plusieurs pays, notamment l'Espagne, le Portugal, la France et l'Italie. Pour ceux qui envisagent d'acheter une maison de vacances en Espagne, Carl Vorsselmans et Filip Berger de Nieuwbouwinspanje fournissent des informations essentielles sur le fonctionnement du marché immobilier espagnol.

Permis de location

Carl Vorsselmans explique qu'en Espagne, outre les considérations fiscales habituelles, il existe des règles spécifiques concernant les permis de location. "Par exemple, aux Baléares, le permis de location est lié à la propriété," dit Vorsselmans. "Ce permis est transférable. Cela peut entraîner une différence de prix de 40 % entre deux propriétés identiques, selon qu'elles possèdent ou non un tel permis. Aux îles Canaries, en revanche, ce permis n'est pas transférable lors de la vente et doit donc être renouvelé."

Que voulez-vous acheter ?

"De nombreux acheteurs souhaitent simplement diversifier leur portefeuille d'investissement et réaliser un bon investissement," explique Vorsselmans. "Ils recherchent un bien immobilier situé dans un emplacement de premier choix et comptent sur une appréciation de sa valeur. Ils y vont eux-mêmes et ne pensent souvent pas à la location."

"Cependant, les personnes qui savent exactement ce qu'elles veulent dès le départ sont minoritaires," déclare Filip Berger de Nieuwbouw in Spanje. "La plupart des clients hésitent, ce qui est compréhensible. Souvent, ils recherchent une résidence secondaire pour leur usage personnel, mais souhaitent également la louer un peu, car ces revenus sont attractifs. Cela crée une tension, car ce qui est bon pour la location n'est peut-être pas ce qu'ils recherchent eux-mêmes. C'est à nous, à travers des discussions, de clarifier leurs préférences finales."

Combien de temps êtes-vous prêt à attendre ?

La question est de savoir si vous souhaitez profiter de votre résidence secondaire dès que possible ou si vous êtes prêt à attendre un projet sur plan qui n'a pas encore commencé. Si vous avez le temps d'attendre, il y a de fortes chances que vous réalisiez une plus-value entre la signature du contrat et la livraison. "En Espagne, par exemple, il y a une différence significative entre les deux," explique Vorsselmans. "C'est un modèle commercial en soi."

Mais Vorsselmans note que cette façon d'acheter un bien immobilier ne convient pas à tout le monde. "Les personnes qui ont déjà pris une décision émotionnelle d'achat ne veulent souvent pas attendre deux ans. J'avais, par exemple, un client de 70 ans à qui j'ai expliqué l'avantage d'attendre deux ans, mais qui a répondu : ‘C'est gentil de me le proposer, mais pour moi, deux ans ne se ressentent pas de la même manière que pour vous.’"

Souhaitez-vous en savoir plus ?

Êtes-vous intéressé par l'article complet ? Lisez-le ici : Lire l'article complet